La somme allouée aux vêtements a baissé de 10% par foyer depuis 2010. Mais l’arrivée du commerce vestimentaire en ligne est tout de même venu bouleverser les mœurs.
Perçu comme une source d’abaissement des coûts, il a aussi conduit à une offre plus standardisée, sans autre différenciation que le prix, ce qui pèse sur les marges des marques.
Mais est-ce vraiment cela que recherche le consommateur d’aujourd’hui ?
Offrir une gamme de produits en constant renouvellement et avoir un schéma de production par très grosse quantité qui s’appuie sur une estimation des ventes à venir ? Nous n'en sommes pas si sûres chez Petit Ours Blanc.
Les partisans du renouvellement accéléré sont pour la plupart aujourd’hui pris à leur propre jeu : ils n’arrivent eux-même plus à suivre le changement des critères. Prenons donc le schéma à l’envers et revenons aux bases.
Le prix n'est pas le critère référent, loin de là. Nous ne voulons pas d’un modèle économique où pour écouler une marchandise dont on ne sait plus quoi faire et qui perdra de sa valeur très vite, nous devons obligatoirement passer par des ventes en promotions ou soldes !